Les aventures éditoriales (pas simples) de L’amour insecticide.

14 septembre 2021
Ça fait un peu plus d’un mois que j’ai sorti L’amour insecticide en éditrice indépendante et plus le temps passe, plus l’univers de l’autoédition m’apparait tentaculaire. Un peu comme le web, la 5G, les data centers dissimulés on ne sait où.
Lorsqu’il m’arrive de résoudre un problème (de temps à autre…), j’ai le sentiment décourageant de trancher le bras d’un poulpe – qui repoussera d’ailleurs, de toutes les manières. Ça me fait penser à l’hydre de Lerne… vous savez, le serpent mythologique à plusieurs têtes. Sauf que je ne suis pas Héraclès, je risque donc de mettre un peu plus de temps pour vaincre… tordre ses multiples cous. En un mot, comprendre la marche à suivre pour exister dans le paysage de l’auto-édition. De toute façon, ce ne sont jamais tout à fait les mêmes membres qui se renouvellent sempiternellement. Peut-être sont-ils plus petits, plus faibles ? Je l’espère âprement même s’ils n’en repoussent pas moins vite.
Je vous livre un exemple : ce matin, j’ai décidé de peaufiner l’utilisation d’Insta. Pas difficile. Mais, de fil en aiguille, sans même m’en apercevoir, je me suis égarée dans les méandres de mes divers moyens de communiquer et mille problèmes me sont apparus : Antidote ne fonctionne pas sur WordPress; comment faire venir les blogueuses littéraires sur mon compte Insta, comment profiter un maximum de ma page FB… jusqu’à ce que je lise un article sur le Net me conseillant de ne pas tout faire en même temps, alors que j’ai passé mon mois d’août à créer ces outils, parait-il, indispensables. Pfft…
Vous savez quoi… ? Je vais y aller au feeling, c’est le mieux ! C’est pourquoi je m’en vais vous relater mes aventures dans l’autoédition !
Abonnez-vous à mon blog
Recevez directement le nouveau contenu dans votre boîte de réception.